La multiplication des produits financiers liés au vin illustre l’engouement des français pour les actifs réels. Si cet investissement permet d’allier plaisir et perspective de plus-value, il peut toutefois s’avérer risqué.
L’investissement dans le vin ne connaît pas la crise. Alors que le prix des grands Bordeaux marque le pas depuis plusieurs mois, les fonds et produits financiers s’appuyant sur les crus les plus prestigieux ne cessent, eux, de se multiplier.
Entre les caves clés en main, qui peuvent être gérées à distance (Cavissima, Patriwine, Cave d’Epargne,…), les fonds communs de placement investis dans le vin, les parts de GFV (groupements fonciers viticoles) ou des montages plus exotiques, l’investisseur a l’embarras du choix.
Mais pourquoi rajouter des risques supplémentaires ?
Mieux vaut être le seul propriétaire de sa cave et faire ses choix d’achat et de vente. Ce qui est incontestable, c’est que ces produits financiers s’appuyant sur le vin sont souvent complexes à gérer et peuvent occasionner de multiples frais (d’entrée, de gestion, de surperformance…).
Avez-vous franchi le pas et investi dans ces différents fonds, sociétés ?
Retrouvez sur notre page spéciale Investir dans le vin tous les détails de cet investissement et les différents professionnels du secteur.
Vraiment pas mal cette idée, et il faut le dire elle est plutôt originale.
Ça peut devenir un investissement intéressant.
Merci pour l’article, je partage sur les réseaux sociaux 🙂